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Publié le 14 octobre 2017 | modifié le 24 janvier 2025
Par Alexandra Blanc, Anne-Hélène Collin, Maïtena Teknetzian et Florence Bontemps
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D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3187 DU 26 AOÛT 2017 

1  Le calcium est un élément minéral fabriqué par les cellules du tissu osseux.

2  Un déficit en calcium peut entrainer des crises de tétanies.

3   Les apports nutritionnels conseillés en calcium sont de 1 200 mg/jour chez l’adolescent.
4  Les apports nutritionnels conseillés en calcium sont de 900 mg/jour chez les personnes âgées de plus de 65 ans.

5  Les poissons en conserves avec arêtes sont sources importantes de calcium.

6  Les aliments riches en calcium diminuent l’absorption et la biodisponibilité des bisphosphonates.
Réponses : 1 faux. Le calcium n’est pas fabriqué par le corps, il doit être apporté par l’alimentation. 2 vrai. 3 vrai. 4 faux. Chez les plus de 65 ans, les apports nutritionnels conseillés sont de 1 200 mg/jour. 5 vrai. 6 vrai.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3188 DU 2 SEPTEMBRE 2017 

1  Le ronflement est un bruit vibratoire produit durant le sommeil.

2  Il touche quatre fois plus les hommes que les femmes.

3   Le ronflement est considéré comme bénin sauf s’il s’accompagne d’apnées.
4  Anxiolytiques, hypnotiques… peuvent favoriser le ronflement.

5  Les produits disponibles en pharmacie ont démontré une efficacité dans les ronflements simples.

6  La perte de poids est un facteur essentiel dans la prise en charge des ronflements.
Réponses : 1 vrai. 2 faux. Le ronflement touche deux fois plus les hommes (50 %) que les femmes (25 %). 3 vrai. 4 vrai. 5 faux. Ces produits, nombreux en pharmacie, n’ont pas été scientifiquement évalués. 6 vrai.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3189 DU 9 SEPTEMBRE 2017 

1  Seuls les chats et chiens ayant accès à l’extérieur doivent être vermifugés.

2  Les jeunes chiots et chatons sont vermifugés tous les mois entre l’âge de 2 et 6 mois.

3   Les molécules utilisées peuvent être données au chien ou au chat, sans distinction.
4  Les doses administrées sont en fonction du poids de l’animal.

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5  Il est conseillé d’alterner les molécules pour éviter l’apparition de résistances.

6  Il est conseillé de compléter la vermifugation par un antiparasitaire externe.
Réponses : 1 faux. Tous les animaux doivent être vermifugés, même les animaux d’intérieur. 2 vrai. 3 faux. Certaines molécules sont destinées uniquement au chien, d’autres uniquement au chat, d’autres enfin aux deux espèces. 4 vrai. 5 vrai. 6 vrai.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3190 DU 16 SEPTEMBRE 2017 

1  Il n’y a pas d’intervalle fixe à respecter entre deux tétées.

2  Il est conseillé d’attendre les pleurs du bébé pour proposer la tétée.

3   En moyenne, un bébé peut téter 8 à 12 fois par 24 heures, y compris la nuit.
4  Ail, chou ou encore épices sont contre-indiqués chez la mère qui allaite.

5  L’application de lait maternel sur le mamelon est recommandée en fin de tétée pour ses vertus cicatrisantes.

6  Il est fortement recommandé de laver le sein à l’eau et au savon après chaque tétée.
Réponses : 1 vrai. 2 faux. Au contraire, il est conseillé d’allaiter dès les signes d’éveil de l’enfant, sans attendre ses pleurs. 3 vrai. 4 faux. Ces aliments peuvent donner du goût au lait mais ils ne sont pas interdits. 5 vrai. 6 faux. Une hygiène excessive, plus d’une fois par jour, doit être évitée.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3190 DU 16 SEPTEMBRE 2017 

1  Une plaie cicatrise mieux lorsqu’elle est laissée à l’air libre.

2  L’escarre se développe d’abord en profondeur avant de s’ouvrir vers l’extérieur.

3   Les localisations les plus fréquentes des escarres sont les talons et le sacrum.

4  L’escarre débute par une rougeur cutanée qui blanchit à la pression.

5  L’escarre est handicapant mais n’expose à aucune complication.

6  L’immobilisation et la dénutrition sont les principaux facteurs prédictifs du risque d’escarre.
Réponses : 1 faux. Contrairement à une idée reçue, une plaie cicatrise mieux et plus vite en milieu chaud et humide. 2 vrai. 3 vrai. 4 faux. Le stade 1 de l’escarre est défini par une rougeur cutanée qui ne blanchit pas à la pression. 5 faux. L’infection est la complication majeure. Une ostéite, voire une septicémie, peuvent mettre en jeu le pronostic vital. 6 vrai.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3191 DU 23 SEPTEMBRE 2017 

1. Quels sont les inhibiteurs calciques à tropisme cardiaque prédominant ?
a. les dihydropyridines (amlodipine, nifédipine…)
b. les phénylalkylamines (vérapamil)
c. les benzothiazines (diltiazem)
2. Les inhibiteurs calciques sont principalement indiqués :
a.  dans l’insuffisance coronarienne
b. dans l’ostéoporose
c. dans l’hypertension artérielle
3. Quels sont leurs principaux effets indésirables ?
a. un flush facial
b. une hypertension artérielle
c. des œdèmes des membres inférieurs
4. Le diltiazem et le vérapamil sont :
a. des inducteurs enzymatiques
b. des inhibiteurs enzymatiques
Réponses : 1 b, c. 2 a, c. 3 a, c. 4 b.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3191 DU 23 SEPTEMBRE 2017 

1  La conjonctivite d’origine bactérienne est d’emblée bilatérale.

2  La conjonctivite virale est très contagieuse.

3  La conjonctivite virale se manifeste par une rougeur oculaire, des sécrétions purulentes et des paupières collées le matin.

4  Douleur intense, photophobie, baisse d’acuité visuelle et traumatismes oculaires sont des urgences ophtalmiques.

5  En cas de projection d’un produit corrosif, rincer immédiatement à l’eau tiède pendant 15 minutes.

6  Les produits acides sont plus à risques de séquelles car ils pénètrent profondément dans les membranes cellulaires.

7   En cas de traumatisme, protéger l’œil avec un pansement oculaire non compressif et se rendre aux urgences ophtalmiques.

8  La conjonctivite allergique est généralement bilatérale.
Réponses : 1 faux. Dans la conjonctivite bactérienne, l’atteinte est généralement unilatérale mais s’étend le plus souvent aux deux yeux en moins d’une semaine. La conjonctivite virale, plus contagieuse, est parfois bilatérale d’emblée. 2 vrai. 3 faux. Ce sont les signes d’une conjonctivite d’origine bactérienne. Dans la conjonctivite virale, les sécrétions sont séreuses, transparentes, accompagnées d’un chémosis. 4 vrai. 5 vrai. 6 faux. Les bases pénètrent plus profondément dans les membranes des cellules que les acides. Les acides, en formant des complexes avec les protéines de la cornée, pénètrent plus difficilement. 7 vrai. 8 vrai.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3192 DU 30 SEPTEMBRE 2017 

1  Les groupes sanguins sont définis par la présence d’antigènes spécifiques à la surface des lymphocytes.

2  Un patient RH 1 ou D positif (rhésus positif) présente naturellement des anticorps anti-RH1.

3  Dans le groupe ABO, le groupe sanguin le plus fréquent est « O ».

4  Un patient du groupe A peut recevoir des produits sanguins des groupes A ou O.

5  Un patient du groupe O peut recevoir des produits sanguins des groupes A, B, AB ou O.

6  Un patient du groupe AB ne peut recevoir que des produits sanguins du groupe AB.

7   Une anémie fœtale et/ou une maladie hémorragique du nouveau-né sont les conséquences d’une incompatibilité fœto-maternelle.

8  Une carte de groupe sanguin est établie à partir de deux prélèvements effectués dans deux laboratoires différents.
Réponses : 1 faux. Les antigènes spécifiques sont situés à la surface des globules rouges. 2 faux. Les anticorps pour les systèmes RH ou KEL ne sont pas naturellement présents, ils apparaissent au décours d’une situation allo-immunisante (transfusion, grossesse) : on parle d’agglutinines irrégulières. 3 faux. Le groupe sanguin le plus fréquent est A (45 % de la population). 4 vrai. 5 faux. Un patient du groupe O ne peut recevoir que des produits sanguins du groupe O. 6 faux. Un patient du groupe AB peut recevoir des produits sanguins des groupes A, B, AB ou O. 7 vrai. 8 faux. Une carte de groupe sanguin est établie à partir de deux prélèvements effectués dans le même laboratoire, si possible par deux personnes différentes.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3192 DU 30 SEPTEMBRE 2017 

1  Les médicaments de substitution aux opiacés sont contre-indiqués chez la femme enceinte.

2  L’anxiolytique de 1ère intention chez le patient suivant un traitement de substitution aux opiacés est une benzodiazépine.

3   La méthadone est susceptible d’allonger l’espace QT.

4  L’association buprénorphine/méthadone est envisageable chez les patients qui détournent la voie d’administration de la buprénorphine.
Réponses : 1 faux. L’utilisation d’un traitement de substitution est possible au cours de la grossesse, quel qu’en soit le terme. 2 faux. L’utilisation de benzodiazépine chez un patient sous traitement substitutif majore le risque de détresse respiratoire. 3 vrai. L’association de la méthadone aux torsadogènes (comme l’hydroxyzine, le citalopram ou la dompéridone…) est de ce fait contre-indiquée. 4 faux. L’association buprénorphine/méthadone est contre-indiquée. En cas de détournement d’usage, la buprénorphine est associée à la naloxone.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3193 DU 7 OCTOBRE 2017 

1. Le bilan biologique thyroïdien est effectué :
a. à jeun
b. le matin de préférence
c. dans le même laboratoire à chaque fois
2. Un bilan biologique thyroïdien consiste à doser essentiellement :
a.  la T4L
b. la T3L
c. la TSH
3. Une TSH élevée évoque :
a. une hypothyroïdie
b. une hyperthyroïdie
Réponses : 1 b, c. 2 c. 3 a.

D’APRÈS LE MONITEUR DES PHARMACIES     3193 DU 7 OCTOBRE 2017 

1  L’hypertension artérielle (HTA) est définie par une pression artérielle qui associe en même temps une pression systolique (PAS) ≥ 140 mmHg et une pression diastolique (PAD) ≥ 90 mmHg, mesurées au cabinet médical.

2  Une HTA est dite essentielle quand aucune cause n’est retrouvée.

3   Le traitement est choisi sur le seul critère de la valeur de la pression artérielle.

4  Le traitement médicamenteux doit être associé à des mesures hygiénodiététiques.

5  En général, après 6 mois de traitement, l’objectif tensionnel est une PAS comprise entre 130 et 139 mmHg et une PAD < 90 mmHg (au cabinet médical ou à la pharmacie).

6  L’HTA est un facteur de risque de plusieurs cancers.
Réponses : 1 faux. L’HTA est définie par une pression systolique ≥ 140 mmHg et/ou une pression diastolique ≥ 90 mmHg. 2 vrai. 3 faux. Les chiffres tensionnels et les facteurs de risque cardiovasculaires conditionnent la mise en route d’un traitement et sa nature. 4 vrai. 5 vrai. 6 faux. L’HTA est un facteur de risque cardiovasculaire et rénal.

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