L’avventura du psy en pharmacie

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Publié le 28 mars 2017
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Naples, Rome, Milan ou Gênes : des centaines d’officines italiennes offrent la possibilité de consulter un psychologue en pharmacie. Présent quelques heures par semaine, il reçoit avec ou sans rendez-vous et à un prix modéré voire gratuit. C’est la réforme de 2009, avec laquelle la « pharmacie de services » est née, qui a permis cette initiative. Les clients viennent pour « des problèmes de stress, d’anxiété, de dépression ou des difficultés de dialogue parents-enfants », note Annarosa Racca, présidente de Federfarma. Objectif : faire de l’officine « la première interface socio-sanitaire aux demandes de la population ». Un exemple pour la pharmacie française ?

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