Quelles sont les huiles essentielles inscrites au monopole pharmaceutique ?

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Publié le 27 avril 2019 | modifié le 20 septembre 2025
Par Yolande Gauthier
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Il s’agit de la grande absinthe (Artemisia absinthium L.), la petite absinthe (Artemisia pontica L.), l’armoise commune (Artemisia vulgaris L.), l’armoise blanche (Artemisia herba alba Asso L.), l’armoise arborescente (Artemisia arborescens L.), le chénopode vermifuge (Chenopodium ambrosioides L. et Chenopodium anthelminticum L.), l’hysope (Hyssopus officinalis L.), la moutarde jonciforme (Brassica juncea L.), la rue (Ruta graveolens L.), la sabine (Juniperus sabina L.), le sassafras (Sassafras albidum L.), la sauge officinale (Salvia officinalis L.), la tanaisie (Tanacetum vulgare L.), le thuya (Thuya plicata Donn.), le thuya du Canada ou cèdre blanc (Thuya occidentalis L.) et le cèdre de Corée (Thuya koraenensis Nakai), dit « cèdre feuille » (article D. 4211-13 du Code de la santé publique). Trois autres huiles essentielles ne peuvent être délivrées que sur ordonnance : anis vert (Pimpinella anisum), badiane (Illicium verum) et fenouil (Foeniculum vulgare).

Sources : Ordre des pharmaciens ; Code de la santé publique.

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