- Accueil ›
- Conseils ›
- Maux du quotidien ›
- Première nécessité
Première nécessité
J’ai beau tourner et retourner le problème dans tous les sens, je n’arrive pas à avaler le passage à 7 % de la TVA sur les médicaments non remboursables. Ce n’est pas parce que désormais je risque de payer plus cher mes pastilles pour déglutir sans douleur. C’est plutôt sur le registre intellectuel que cela me perturbe.
Je ne comprends pas que l’on « sanctionne » une solution dont l’efficacité thérapeutique, la sécurité et les conditions d’utilisation sont étayées par des dossiers d’autorisation de mise sur le marché. Une solution thérapeutique doublée d’une solution économique pour la collectivité. Et qu’au bout du compte, ces « produits » de première nécessité soient plus taxés pour l’instant que des solutions alternatives comme les compléments alimentaires par exemple. En termes de gestion des priorités, surtaxer le médicament me laisse bouche bée.
- Comptoir officinal : optimiser l’espace sans sacrifier la relation patient
- Reishi, shiitaké, maitaké : la poussée des champignons médicinaux
- Budget de la sécu 2026 : quelles mesures concernent les pharmaciens ?
- Cancers féminins : des voies de traitements prometteuses
- Vitamine A Blache 15 000 UI/g : un remplaçant pour Vitamine A Dulcis