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Le cri d’alarme des petits
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Nos entreprises sont axées essentiellement sur l’amélioration ou l’optimisation d’un médicament existant, ce qui est de moins en moins valorisé, expose Gérard Dufour, directeur général de l’AMLIS (Association des moyens laboratoires et industries de santé). Les taxes, en augmentation, représentent 3 % de notre CA et jusqu’à 25 % de nos résultats. » Ces PME représentent 7,1 % du chiffre d’affaires pharmaceutique et 14 % des unités vendues en officine. Pour survivre, l’AMLIS propose de moduler les taxes en fonction de la taille et de la rentabilité des PME et non exclusivement du CA, revaloriser les produits « anciens » à l’intérêt thérapeutique réel et un déremboursement cohérent de certaines classes.
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