L’IGAS pointe les carences du DPC

L’IGAS pointe les carences du DPC

Publié le 30 avril 2014 | modifié le 24 juillet 2025
Par Matthieu Vandendriessche
Mettre en favori

Votre chapô ici

Le très attendu rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) sur le développement professionnel continu a été mis en ligne le 30 avril.

Dans sa synthèse, le rapport ne relève « pas de manquements graves, mais des dysfonctionnements » dans le fonctionnement de l’organisme de gestion du DPC (OGDPC). « L’obligation de formation n’a pas de contenu précis : ni le volume d’heures, ni le contenu de la formation ne font l’objet de prescription », pointe l’IGAS. Elle constate que la sanction du manquement à l’obligation n’est pas organisée et que le dispositif ne pourra être généralisé à toutes les professions de santé sans aléas budgétaires.

En conséquence, l’IGAS propose 4 pistes d’amélioration, dont le recentrage des missions de l’OGDPC « sur la formation inter-professionnelle et les priorités de santé publique ». Une autre option préconise la suppression pure et simple de l’OGDPC.







Publicité