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En voilà une bonne question !
Ils sont six et ont au moins deux points communs. Primo, ce sont des pharmacologues de renom ; secundo, ils viennent de se lâcher dans Le Monde*. Leur tribune « Prescrire juste, plutôt que juste prescrire » pose la question interdite : celle de la formation insuffisante des prescripteurs au bon usage du médicament, aussi bien pendant leurs études, qu’au cours de leur carrière professionnelle. Mediator et l’affaire récente des pilules, qui partagent eux-mêmes un point commun, celui du mésusage et des prescriptions inadaptées, ont offert aux éminents spécialistes une véritable autoroute.
Côté réponses, ces experts mettent en avant le développement professionnel continu ; et ce n’est pas au Moniteur que nous vous dirons le contraire. Ils rappellent également les bases rationnelles de la juste prescription : prescrire en DCI (pour savoir ce que l’on prescrit vraiment), se méfier des associations médicamenteuses et des ordonnances surchargées, prévenir, détecter et gérer les effets indésirables.
Madame et messieurs les pharmacologues, merci mille fois de soulever les bonnes questions. Nul besoin de chercher bien loin l’un des éléments de réponse. Il a pignon sur rue… C’est le pharmacien.
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