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Un rythme générationnel de 28 jours
La nouvelle marque de soin anti-âge, Projet 28, est née de la recherche biomédicale. A l’origine du développement, le Pr Denis Barritault, spécialisé dans la recherche biomédicale et plus particulièrement sur l’actif biomimétique, le RGNA 28, qu’il utilise pour traiter les ulcères périphériques ou les altérations de la cornée. Les principales propriétés du RGNA 28 sont de renforcer la matrice extracellulaire, d’agir sur la régénération de la peau et de prolonger les fonctions hydratantes de l’acide hyaluronique. L’idée lui est donc venue d’utiliser ses atouts en cosmétique, pour financer, en partie, sa recherche biomédicale. En plus de sa molécule brevetée, Projet 28 se positionne comme une marque haut de gamme, porteuse de sens. Les produits sont composés à 90 % d’ingrédients naturels et sont fabriqués par un partenaire labo basé à Orléans et le packaging est en papier biodégradable réalisé par un fournisseur portugais… « Il y a tout un éco-système autour de cette marque », affirme Alexandre Illouz, en charge du projet. Pour son lancement fin mars 2018, la gamme s’est concentrée sur les trois principaux produits du secteur anti-âge : une crème de jour, une crème de nuit et un sérum. D’autres nouveautés devraient venir compléter la gamme, tels qu’un contour des yeux, un lait anti-âge, une crème pour les mains, un stick à lèvre, une crème après l’épilation, une crème après-soleil…« Sa distribution est uniquement en pharmacie, car c’est une marque qui s’accompagne d’un conseil scientifique. Ni la parfumerie, ni la grande distribution ne sont capables de fournir un discours de vente biotechnique », précise Alexandre Illouz. Et pour accompagner l’équipe officinale dans cette mission de conseils, la marque met en place un concept de “beauty manager”, avec des animatrices chargées d’animer l’ensemble du rayon cosmétique, une à deux fois par mois. Pour l’heure, douze pharmacies pilotes distribuent d’ores et déjà la marque. « Notre ambition est d’atteindre 50 pharmacies d’ici à la fin 2019, entre 300 et 400 pharmacies dans les cinq ans à venir », ajoute Alexandre Illouz. Des outils d’aide à la vente (un présentoir sur pieds, un présentoir de comptoir, une barquette étagères avec des stoprayons) sont également en cours d’élaboration. PVC : 79,90 €, prix unique par produit.
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