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La capécitabine s’affiche sur les logiciels officinaux
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Publié le 2 octobre 2021
Par Audrey Chaussalet, Anne-Hélène Collin, Yolande Gauthier, Laurent Lefort et Francois Pouzaud
Par Audrey Chaussalet, Anne-Hélène Collin, Yolande Gauthier, Laurent Lefort et Francois Pouzaud
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Pour prévenir les effets indésirables graves liés à un déficit en dihydropyrimidine déshydrogénase (DPD) lors d’un traitement par fluoropyrimidines (5-fluorouracile à l’hôpital et capécitabine/Xeloda), les logiciels certifiés d’aide à la prescription ou à la dispensation doivent désormais intégrer un message d’alerte. Sous la forme d’un pop-up, il rappelle aux prescripteurs et aux pharmaciens que la recherche d’un éventuel déficit en DPD est obligatoire avant toute initiation de traitement par l’un de ces anticancéreux.
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