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© Rasilez, Tofranil : vers un déremboursement ? - Agb-fotolia
Rasilez, Tofranil : vers un déremboursement ?
La Haute autorité de santé (HAS) a réévalué le service médical rendu des antihypertenseurs à base d’aliskiren Rasilez et Rasilez HCT. Elle l’a jugé insuffisant, ouvrant la voie à un déremboursement de ces médicaments actuellement pris en charge à 30 %.
Même jugement pour le busulfan Myleran, indiqué dans la leucémie myéloïde chronique et pour la préparation à la transplantation de cellules souches hématopoïétiques.
Quant à Tofranil (imipramine), la HAS a donné un avis défavorable au maintien du remboursement dans l’indication « Enurésie nocturne de l’enfant dans les cas où toute pathologie organique a été exclue ». Les autres indications de Tofranil (épisodes dépressifs majeurs et douleurs neuropathiques périphériques de l’adulte) bénéficient toujours d’un service médical rendu important.
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