- Accueil ›
- Nouvelles missions ›
- Vaccination ›
- Le risque s’immisce dans le CMIC
Le risque s’immisce dans le CMIC
Réservé aux abonnés
Partager
Mettre en favori
Par mesure de prudence, les agences française et européenne du médicament demandent aux laboratoires de réduire la concentration de chlorométhyl isopropyl carbonate (CMIC) dans les médicaments à base de ténofovir disoproxil. Cette substance dont l’effet mutagène a été mis en évidence uniquement in vitro est indispensable au processus de fabrication. Les patients qui prennent ces médicaments pour l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou celui de l’hépatite B (VHB) ne doivent pas arrêter leur traitement ; les bénéfices l’emportent largement sur les risques de survenue d’un cancer lié à l’exposition au CMIC.
Publicité
Publicité
Publicité
- Vaccination antigrippale en pharmacie : vacciner dès maintenant, oui ou non ?
- Prevenar 20 : un remboursement élargi à tous les plus de 65 ans
- Vaccination : comment gérer la douleur au point d’injection
- Prévention contre la méningite : quels vaccins et pour qui ?
- Combien d’injections de vaccin peut-on administrer le même jour ?
- Comptoir officinal : optimiser l’espace sans sacrifier la relation patient
- Reishi, shiitaké, maitaké : la poussée des champignons médicinaux
- Budget de la sécu 2026 : quelles mesures concernent les pharmaciens ?
- Cancers féminins : des voies de traitements prometteuses
- Vitamine A Blache 15 000 UI/g : un remplaçant pour Vitamine A Dulcis
Sur le même sujet…
