THS non substituable par les phyto-oestrogènes

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Publié le 14 février 2004
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Le dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire fait le point sur les THS. Il confirme que les études WHI et MWS démontrent « de la façon la plus rigoureuse possible » que les THS augmentent le risque de cancer du sein et estime « qu’il serait dangereux de continuer à [les] prescrire très largement ». Surtout, les chercheurs de l’INVS exhortent à ne « pas les remplacer par des traitements dont l’efficacité n’est pas prouvé ou dont les effets à long terme ne sont pas évalués, comme les phyto-oestrogènes ou la DHEA »

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