Des traumas physiques impliqués dans les zonas

Bien que modeste, un nouveau facteur de risque a été mis en évidence dans la survenue de certains zonas : le choc. Les traumatismes physiques semblent en effet jouer un rôle dans la réactivation du virus varicelle-zona. D’après une étude britannique incluant 244 cas de zona, 7 % des patients ont rapporté dans les six mois précédents un traumatisme au même site que celui du rash induit par la réactivation du virus.

Source : Agence de presse médicale Reuters, d’après le « British Medical Journal ».