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Accident vasculaire cérébral : Les familles encaisseraient plutôt bien le choc
Quelles conséquences peut entraîner la survenue d’un AVC sur la famille proche du sujet qui en a été victime ? A l’occasion de la 2e Journée nationale de prévention des AVC, qui s’est tenue début avril, les laboratoires MSD ont interrogé 221 foyers où était survenu un AVC depuis au moins un an.
Les victimes (64,1 ans d’âge moyen) ont souffert ou souffrent d’un ou plusieurs troubles : 90 % d’une hémiplégie, 60 % d’une perte de langage totale ou partielle, 45 % d’un trouble de la compréhension, 55 % d’un trouble de la mémoire, 40 % d’une dépression et 40 % d’un trouble partiel ou total de la lecture ou de l’écriture. Elles sont parfois dépendantes, ne pouvant pas faire leur toilette seules (23 %) et s’habiller seules (21 %).
90 % des proches estiment que le plus dur à gérer est l’aspect psychologique, mais 75 % considèrent que l’AVC a renforcé les liens familiaux, révélant des ressources personnelles insoupçonnées (70 %). Trois quarts des conjoints considèrent également que l’accident les a rapprochés et 70 % des enfants se sentent plus proches de la victime. En dehors de cette cellule familiale, les choses sont moins roses : 34 % des victimes ont perdu leur travail, 21 % ont été mises en invalidité et, pire, 15 % des conjoints ont dû arrêter de travailler. Conséquence : 40 % des personnes interrogées considèrent que l’AVC a eu des répercussions financières désastreuses pour la famille.
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