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Publié le 6 septembre 2019
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plus de chances de survie lorsqu’une réanimation cardiopulmonaire (massage cardiaque) est pratiquée par le témoin d’un arrêt cardiaque avant l’arrivée des secours. D’après une étude française présentée au congrès de la Société européenne de cardiologie (Paris, du 31 août au 4 septembre), le taux de survie dans les 30 jours qui suivent la réanimation faite par un témoin est de 10,2 %. Il n’est que de 3,9 % si personne n’a pu effectuer un massage cardiaque.

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