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Antibiotiques, AVK, AINS et IPP en cause ?
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Une étude de la Société de néphrologie de l’Ouest à paraître a mis en évidence la responsabilité de 4 classes thérapeutiques dans la survenue de néphropathies immunoallergiques : 24 cas sur 1 an, dont 33,3 % impliquaient les AVK, surtout la fluindione. Antibiotiques et AINS sont responsables chacun de 20,8 % des cas. Enfin, les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) causent 16,7 % des néphropathies. AVK et IPP sont apparemment à l’origine d’une atteinte rénale plus sévère. Les auteurs de l’étude recommandent donc la surveillance de la créatininémie entre la 2e et la 4e semaine après l’introduction d’un de ces médicaments chez les patients souffrant déjà d’une insuffisance rénale chronique.
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