Un nourrisson souffrant de bronchiolite

Nos conseils

La kinésithérapie respiratoire est essentielle pour lutter contre l’encombrement bronchique.

Il convient d’évaluer la gravité de la bronchiolite et de reconnaître les premiers signes cliniques (toux quinteuse, dyspnée, sifflements). Certains signes d’alarme (détresse respiratoire, cyanose, troubles digestifs) conduisent à l’hospitalisation. À la moindre aggravation, consulter le médecin. Le respect des séances de kinésithérapie respiratoire est impératif. Par ailleurs, il est nécessaire d’assurer une hydratation suffisante de l’enfant, de dégager les voies respiratoires supérieures par des lavages de nez avec sérum physiologique (notamment avant les biberons). L’enfant sera installé en position semi-assise afin d’éviter le reflux. Éviter l’automédication, en particulier l’administration de fluidifiants en soirée, qui pourrait favoriser l’hypersécrétion nocturne. Éviter tout tabagisme dans l’entourage de l’enfant.