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Le bizutage passible de prison
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Publié le 29 septembre 2001
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Le ministre de l’Education nationale rappelle dans une circulaire du 13 juin dernier que depuis la loi du 17 juin 1998 relative à la répression des infractions sexuelles, le bizutage est un délit passible de six mois d’emprisonnement et 50 000 F d’amende. Il y souligne qu’il est du devoir de chaque fonctionnaire de saisir le procureur de la République de toute pratique dégradante ou humiliante, même quand il n’y a pas eu de dépôt de plainte. A garder à l’esprit à quelques jours de la rentrée des facs de pharmacie…
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