La validation du développement professionnel continu (DPC) pour 2014

Sophie Gaudin-Brivet Vincennes (Val-de-Marne)

J’ai validé mon DPC en compagnie de mes deux adjointes. Nous avons suivi toutes les trois en mai et juin dernier, la même formation sur la prise en charge et le suivi des patients sous AVK afin de pouvoir répondre et tenir à nos patients le même discours lors des entretiens pharmaceutiques. Cette formation se déroule sur une journée et cela se gère assez bien au niveau de l’organisation des emplois du temps du personnel.

Le remboursement de cette formation a été rapide et les modalités de validation du DPC par Internet sont simples. Nous envisageons maintenant de reconduire cette formation commune sur la conduite des entretiens pharmaceutiques chez les patients asthmatiques

Sandrine Dazin Saint-Amand-les-Eaux (Nord)

Je suis inscrite avec mon adjointe aux EPU de la faculté de pharmacie de Lille.

Quatre formations sont prévues au programme de 2014 (insuffisance rénale, migraine…) et leur validation dans le cadre du DPC est prévue sur le dernier trimestre 2014.

Une séance d’EPU se tient en soirée, sur 2 heures et demie, à raison donc de 4 par an. Une formation en soirée est pour moi plus bénéfique qu’une journée de formation car, au-delà de 3 ou 4 heures d’enseignement, je n’« enregistre » plus. De plus, les réunions organisées par la faculté sont délocalisées sur la région, en particulier sur Valenciennes, ce qui est idéal pour moi car Saint-Amand n’est qu’à 20-25 minutes en voiture.

Véronique Michot Lusigny (Allier)

J’ai validé mon DPC sur l’asthme en janvier dernier, et j’attends maintenant le coup d’envoi des entretiens pharmaceutiques chez les patients asthmatiques. J’ai également une formation programmée en décembre sur le diabète au titre de l’année 2014. Je préfère les formations présentielles d’une journée aux séances d’e-learning. Pourtant, le système a connu quelques ratés : la journée de formation sur le diabète qui avait été initialement prévue a été annulée sans prévenir, alors que j’avais pris un pharmacien diplômé pour me faire remplacer. J’en ai été de ma poche.