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Du sans jeune
« Qui a eu cette idée folle un jour d’inventer l’école, c’est ce sacré Charlemagne…», chantait France Gall. Pour ce qui est de la réforme d’entrée dans les études de santé (Rees), c’est Agnès Buzyn, l’ancienne ministre de la Santé, qui l’a mise en place. Et depuis son lancement en 2020, ça n’est pas la joie sur les bancs de la fac ! 81 % des étudiants connaissent une dose de stress supplémentaire à l’entrée en licence accès santé (LAS) ou en parcours accès santé spécifique (Pass), selon une enquête réalisée par la Fédération des associations générales étudiantes (Fage)*. De leur côté, leurs aînés pharmaciens rencontrent d’importantes difficultés de recrutement qu’ils ne sont pas près de surmonter puisque plus de 1 étudiant sur 4 (42 %) en première année de santé envisage d’abandonner ses études. Loin de vouloir revenir au système de première année commune aux études de santé (Paces), la Fage propose d’aller plus loin, en imposant une licence de santé unique. Les étudiants débuteraient avec un fort tronc commun en santé, puis s’orienteraient progressivement vers la spécialité choisie. Et comme le suggérait Jean-Jacques Rousseau, « la jeunesse est le temps d’étudier la sagesse, la vieillesse est le temps de la pratiquer ».
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