Isabelle Adenot : « ceux qui jouent aux épiciers se discréditent »

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Publié le 24 novembre 2016
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« […] Si personne n’empêche que l’Etat rabote nos chiffres et volumes d’affaires, ainsi que nos marges sur le remboursable, alors il ne faut pas s’étonner que l’on cherche des relais de croissance ! Et comme nous subissons une liste limitative de produits à vendre, qu’on attend que nos services soient gratuits, que nous n’avons pas droit à la publicité ni aux systèmes de fidélité, la concurrence devient véritablement féroce ! […]»

Actualité publiée le 21   novembre 2016 sur lemoniteurdespharmacies.fr

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