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Une fin de vie moins douloureuse
Que faire pour améliorer les derniers moments des Français ? La Fondation Adréa et l’IFOP ont mené une enquête auprès de 1 019 personnes en septembre dernier et apportent plusieurs réponses à cette question. La prise en charge de la douleur figure au premier rang, suivie par la possibilité de rester à son domicile quand la maladie le permet, et par la prise en charge de la souffrance psychique. Près de la moitié des sondés considèrent qu’il est primordial de faciliter et de développer l’accès aux médecines alternatives et complémentaires (sophrologie, homéopathie, aromathérapie, musicothérapie…) dans les services qui accueillent des personnes en fin de vie. Enfin, le bien-être et le confort de ces personnes passent avant tout par le fait de pouvoir en premier lieu choisir son rythme au quotidien et continuer de profiter de la nature et des petits plaisirs de la vie. §
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