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L’infliximab peut changer le calendrier vaccinal des bébés
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Publié le 16 avril 2022
Par Alexandra Blanc, Anne-Hélène Collin, Marianne Maugez et Francois Pouzaud
Par Alexandra Blanc, Anne-Hélène Collin, Marianne Maugez et Francois Pouzaud
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La vaccination par un vaccin vivant atténué (contre les rotavirus, la varicelle, la fièvre jaune, BCG, ROR) des nourrissons exposés in utero à l’infliximab (Remicade et biosimilaires Flixabi, Inflectra, Remsima et Zessly) doit être différée jusqu’à 12 mois après la naissance, recommande l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). En cause, le passage transplacentaire de l’infliximab qui expose les nourrissons à un risque de diminution de leurs défenses immunitaires, et donc à un risque accru d’infections. De même, l’administration d’un vaccin vivant chez un enfant allaité par une mère traitée par l’anticorps monoclonal n’est pas recommandée, sauf si l’infliximab est indétectable dans son sang.
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