- Accueil ›
- Thérapeutique ›
- Médicaments ›
- Mieux délivrer ›
- vos clients l’ont lu
vos clients l’ont lu
Les tensiomètres
Que Choisir a testé de façon très rigoureuse 16 autotensiomètres (sur 32 personnes, avec 6 paires de mesure au manomètre comparées aux résultats des appareils électroniques…). La liste de l’Afssaps ne serait-elle pas fiable ? « Les appareils sont « enregistrés » sur la base des dossiers fournis par les fabricants, dont on vérifie la conformité aux protocoles d’évaluation clinique prévus en la matière », explique Que Choisir. La conclusion de ses essais est sévère mais justifiée : seul un appareil sur trois est exact et aucun modèle n’apporte une précision parfaite. Les grands gagnants de cette évaluation, dans la catégorie « tensiomètres radiaux », sont Boso Médistar S, Panasonic EW3006 et Colson C3. En revanche, des appareils comme Alvita HL 168 ou Magnien 078 MAM sont recalés. Du côté des modèles huméraux, le meilleur choix revient à Microlife BP A100 Plus, ex aequo avec Boso Medicus Family. Juste derrière, arrivent deux références Omron : M6 Comfort et M3 Intellisense. Les tensiomètres au bras sont jugés plus fiables (ce qui rejoint la position de l’Afssaps) et plus faciles à manier. Reste que l’article positionne l’automesure tensionnelle uniquement dans un cadre de vérification ponctuelle.
Les préservatifs à 20 centimes
Dans ses pages « Votre santé », 60 Millions de consommateurs s’étonne que l’on puisse trouver des préservatifs à 20 centimes « dans les bureaux de tabac, dans les stations-service et, très prochainement, dans les grandes surfaces », mais que « seulement une pharmacie sur quatre proposerait ce type de produit ». Jean Lamarche, membre du conseil de l’ordre des pharmaciens, n’hésite pas à dénoncer dans l’article « le peu d’intérêt que portent les professionnels à la prévention des infections sexuellement transmissible ». L’organe de l’Institut national de la consommation interprète la faible présence du préservatif à bas prix dans les officines par le faible niveau de marge à retirer de ses ventes…
Champix
« Le nouveau médicament pour arrêter de fumer sous surveillance » titre Santé Magazine dans un article sur Champix. Son efficacité est rappelée en toute objectivité. Mais l’accent est mis sur le plan de gestion des risques liés à la varénicline. Au-delà des nausées, des céphalées et des troubles du sommeil, sont rapportés les effets indésirables cardiaques (infarctus du myocarde) et neurologiques (troubles de l’humeur et du comportement). Même si « aucun lien de causalité n’a été établi ». Les candidats au sevrage ne devraient plus avoir envie de prendre du Champix ! D’autant qu’il est clairement conseillé de préférer les substituts nicotiniques car ils sont mieux évalués. Un coup de pouce est donné au passage aux ventes de ces produits qui vont bientôt se retrouver en accès libre. Mais qui nécessitent un accompagnement, sous peine de doubler Champix en termes d’effets secondaires…
- Comptoir officinal : optimiser l’espace sans sacrifier la relation patient
- Reishi, shiitaké, maitaké : la poussée des champignons médicinaux
- Budget de la sécu 2026 : quelles mesures concernent les pharmaciens ?
- Cancers féminins : des voies de traitements prometteuses
- Vitamine A Blache 15 000 UI/g : un remplaçant pour Vitamine A Dulcis
