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Je le savais, Je ne le savais pas
Toutes les informations ci-dessous sont exactes. Pour chacune d’entre elle, cochez la case : « Je le savais » ou « Je ne le savais pas » . Si vous ne le saviez pas, vous auriez-vous probablement dû assister aux Rendez-vous Formation du « Moniteur »…
Les pièges des formes galéniques
1-Le dosage à 10 mg des suppositoires de Primpéran n’est pas indiqué chez l’enfant, sauf dans le cadre des nausées et vomissements chimio-induits chez l’enfant de plus de 20 kg.
2-Pour la suspension buvable Alfatil 125 mg, la dose doit être prescrite en mg par prise et non en dose-poids car la posologie dépend de la pathologie à traiter. On utilise soit la cuillère-mesure (125 mg), soit la pipette graduée en mg de principe actif.
3-Les posologies du sirop Codenfan doivent être prescrites en mg/prise. Il est recommandé de débuter le traitement par une dose égale au poids de l’enfant divisé par deux.
4-Les sachets n° 2 à la vanille de Klean-Prep n’ont pas d’effet thérapeutique. Ils peuvent être mélangés à la solution si le patient le souhaite pour masquer le goût légèrement salé des sachets n° 1.
Rendez-vous « Déjouer les pièges des formes galéniques », par Vivien Veyrat, Geneviève Grison et Sophie Mimoun.
Bouts de chou à l’officine
1-Les bains d’un enfant souffrant de dermatite atopique doivent être courts et tièdes (35 °C).
2-Les dérivés de la pénicilline sont contre-indiqués en cas de mononucléose infectieuse.
3-Le talc et l’aspirine sont à proscrire en cas de varicelle.
Rendez-vous « Enfant, nourrisson, quel conseil à l’officine ? », par Fabiole Moreddu.
L’enjeu de la qualité
1-Une démarche qualité commence toujours par repérer un dysfonctionnement (manquants récurrents, erreurs de stocks…).
2-Dans une démarche qualité, les informations importantes à transmettre à toute l’équipe doivent être notées dans un cahier de liaison et non sur des Post-it pour pouvoir en conserver une trace.
3-La démarche qualité permet de sécuriser la délivrance, de réduire les coûts et d’améliorer les conditions de travail de toute l’équipe.
Rendez-vous « La démarche qualité, un vrai projet d’équipe », par Martine Costedoat et Philippe Bertheuil.
Vigilance auprès des patients parkinsoniens
1-Tous les neuroleptiques peuvent entraîner des troubles pseudo-parkinsoniens.
2-L’association d’un macrolide (sauf spiramycine) à un dérivé ergoté peut entraîner une vasoconstriction des coronaires (association contre-indiquée).
3-Otrasel ne doit pas être associé au tramadol : risque de syndrome sérotoninergique.
4-La constipation est fréquente chez le patient parkinsonien.
Rendez-vous « Iatrogénie des antiparkinsoniens : à partir de cas pratiques », par Geneviève Chamba.
Iatrogénie des antalgiques
1-Les premiers symptômes d’une intoxication grave au paracétamol n’apparaissent que 3 jours après la prise.
2-La dose classique d’instauration d’un traitement morphinique chez l’adulte est de 60 mg de morphine par jour (+ interdoses de 6 à 10 mg en cas de réapparition de la douleur).
3-Tout traitement morphinique doit s’accompagner d’un traitement laxatif systématique à prendre dès la première prise d’opiacé.
4-Tous les morphiniques sous forme à libération prolongée (LP) se prennent à 12 heures d’intervalle matin et soir, sauf Kapanol qui s’administre une fois par jour.
5-Les AINS sont contre-indiqués à partir de 5 mois de grossesse même en prise ponctuelle.
Rendez-vous « Quand les antalgiques font mal », par Vivien Veyrat.
Prise en charge des patients hypertendus
1-Les bêtabloquants provoquent de la fatigue pendant les deux premiers mois du traitement.
2-Tous les diurétiques entraînent une perte de sodium. Certains provoquent une hypokaliémie, d’autres une hyperkaliémie.
3-Tous les inhibiteurs calciques peuvent entraîner des céphalées et des oedèmes des membres inférieurs.
4-La toux sèche due aux IEC peut survenir jusqu’à 6 mois après le début du traitement.
5-Un antécédent de choc anaphylactique est une contre-indication formelle à vie à un traitement par bêtabloquant.
Rendez-vous « Iatrogénie des antihypertenseurs : à partir de cas pratiques », par Geneviève Chamba.
Sauver des vies grâce au défibrillateur
1-Les défibrillateurs comportent deux électrodes dont l’une est à placer sous la clavicule droite et l’autre 10 cm sous l’aisselle gauche, de façon à prendre le coeur en sandwich entre les deux.
2-Si le patient porte un patch de trinitrine à l’endroit où l’on doit coller une des électrodes, il faut le retirer.
3-Il ne faut pas toucher la victime au moment où l’appareil annonce qu’il va délivrer un choc électrique.
4-Une réanimation cardiorespiratoire bien menée accompagnée de la mise en oeuvre précoce d’un défibrillateur permet de récupérer 30 à 40 % des patients.
Rendez-vous « Quand et comment utiliser un défibrillateur ? », par Françoise Callais et Jean Occulti.
Les bases de la podologie
1-Tous les pharmaciens sont habilités à délivrer des semelles orthopédiques.
2-Podoscope et podographe servent à étudier les zones d’appui des pieds et peuvent s’utiliser à l’officine.
3-Un essai des semelles sur plusieurs jours est nécessaire pour vérifier l’absence d’une gêne.
Rendez-vous « La podologie, une composante incontournable de l’orthopédie à l’officine », par Jacques Callanquin.
Résultats
Combien avez-vous coché de réponses « Je le savais » ?
Entre 0 et 15 : Réservez d’ores et déjà votre week-end du 3 au 5 avril 2009 pour assister aux Rendez-vous Formation du « Moniteur » lors de Pharmagora 2009 !
Entre 16 et 25 : Vous avez de solides bases. Pour les élargir, vous pourriez lire ou relire les cahiers du « Moniteur » !
Entre 26 et 31 : Bravo ! Vous avez sûrement suivi l’ensemble des Rendez-vous Formation du « Moniteur » !
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