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Un nouveau CQP… certifié santé naturelle
Former des experts en conseil sur les produits naturels, qui soient également capables de développer et de gérer de A à Z un rayon spécialisé : tels sont les objectifs du très complet certificat de qualification professionnelle (CQP) de phytothérapie, aromathérapie et herboristerie (PAH) en pharmacie d’officine qui ouvre à l’occasion de cette rentrée 2025.
Promis par la branche, souvent évoqué et parfois attendu avec impatience, le certificat de qualification professionnelle (CQP) de phytothérapie, aromathérapie, herboristerie en pharmacie d’officine (PAH) a été habilité pour cette rentrée 2025 dans vingt-deux centres de formation des préparateurs. David Brousseau, préparateur et secrétaire fédéral de la branche officine chez Force ouvrière (FO), comptait parmi ceux qui l’attendaient de pied ferme. « Depuis une bonne décennie, la demande au comptoir est très axée sur les produits naturels, explique-t-il. L’idée d’ouvrir un CQP avait déjà été soulevée au moment des discussions concernant celui sur la dispensation du matériel médical en officine (DMMO), que la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) – syndicat majoritaire d’employeurs –, avait préféré ouvrir en premier. Il était prévu que l’ouverture du CQP PAH suivrait. » C’est désormais chose faite.
Dès la genèse du projet, David Brousseau a contacté le préparateur Kevin Burdin, féru, comme lui, de plantes médicinales et largement formé sur la question. De son côté, Daniel Burlet, en charge des affaires sociales à l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO), qui avait, lui aussi, à cœur d’ouvrir ce CQP, a pris contact avec le pharmacien et spécialiste en médecine naturelle, Guillaume Kreutter. « Le CQP PAH a ensuite été monté de façon collégiale par la branche, via des groupes de travail en commission paritaire nationale de l’emploi et de la formation professionnelle (CPNE-FP), explique Philippe Denry, membre de cette commission et vice-président de la FSPF. Cette collégialité a permis de resserrer le contenu sur les besoins du terrain, tout en la maintenant à un niveau élevé. » En test pour deux ans, « elle pourra faire l’objet d’ajustements, si le niveau est finalement estimé trop élevé ». Le point sur les objectifs et les enjeux de ce CQP.
Un cadre pour sécuriser le conseil
« L’intérêt croissant des patients pour la “naturalité” s’accompagne parfois d’une certaine défiance vis-à-vis du médicament, constate Kevin Burdin, responsable scientifique et formation au sein de l’enseigne de pharmacies Anton&Willem. Cette recherche de solutions naturelles peut être pertinente, mais elle repose parfois sur des idées reçues : ce qui est naturel n’est pas toujours efficace, ni exempt de risques. » Le spécialiste en veut pour preuve l’actualité récente concernant la présence de datura1 dans plusieurs mélanges de tisanes vendues dans une herboristerie française. « Cette situation ne se serait pas produite si les personnes à l’origine des mélanges avaient été convenablement formées », assène-t-il.
Le CQP PAH vise ainsi à donner un cadre au comptoir, concernant les informations et les produits à base de plantes délivrés au patient. « Le cœur de métier du préparateur, c’est le conseil, rappelle Khadija Afhami, responsable de la formation au centre de formation des apprentis (CFA) de Besançon (Doubs), qui ouvre le CQP en cette rentrée 2025. L’objectif numéro un est donc de sécuriser la vente-conseil, de savoir détecter une demande spontanée dangereuse, mais aussi d’avoir un regard critique sur la prescription. » Ainsi, 45 % de la note finale à l’examen du CQP porte sur un cas de comptoir, tiré au sort, que le candidat devra gérer lors d’une simulation de mise en situation professionnelle. « Sécuriser l’usage et anticiper les interactions sont, pour moi, les enjeux prioritaires des formations sur les plantes adressées aux professionnels de santé », estime, lui aussi, le Pr Pierre Champy, expert à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et à l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation et du travail (Anses).
Valoriser les pratiques sans risques
Autre enjeu de ces formations pour Pierre Champy, également professeur de pharmacognosie à l’université Paris-Saclay (Essonne) : « Il s’agit de ne pas décourager les pratiques sans risques. Certes, les mentalités évoluent, mais certains oncologues, par exemple, refusent encore d’emblée l’usage des plantes par leurs patients – ce qui n’est pas une solution, car ces derniers les utilisent quand même. Il est regrettable que l’Académie de médecine et l’Ordre des médecins ne les reconnaissent pas davantage. » Et de saluer la création, en 2022, de l’Association française d’aromathérapie clinique (AFAC) fondée par Sabrina Boutefnouchet, docteur en pharmacie et maître de conférences à l’université Paris-Descartes, qui œuvre pour le déploiement d’une pratique encadrée, reconnue et valorisée de l’aromathérapie.
« Le plus gros des indications concerne la sphère psychiatrique, notamment les patients anxieux, mais les huiles essentielles offrent aussi des solutions dans le cadre post-thérapeutique, par exemple sur les germes multirésistants », développe Pierre Champy. Comme lui, David Brousseau, fervent défenseur des plantes, estime que « nous avons aujourd’hui beaucoup de recul ainsi que de vraies études cliniques et scientifiques validant leur intérêt thérapeutique ». Un prérequis selon lui indispensable à l’ouverture d’un CQP par branche officine, aujourd’hui atteint.
Former des experts
« Les bilans annuels de l’opérateur de compétences (Opco) placent la phytothérapie et l’aromathérapie dans le top 3 des thématiques de formation choisies par les salariés de l’officine, derrière la micronutrition », rapporte David Brousseau. Face à la demande client, certains CFA comme celui de Besançon avaient même pris les devants. « Nous avons dans notre région des professionnels de santé de grande renommée dans le domaine des produits naturels, qui les prescrivent et ont à cœur de former d’autres professionnels, indique la responsable de formation, Khadija Afhami. Nous avions donc sollicité la branche, il y a quelques années, dans le but de voir se monter une formation sur ces thématiques, dans la région et au-delà. »
Pour David Brousseau, « le moment était venu ! » Il était alors impensable de rater le coche. Certes, « la phyto et l’aromathérapie sont abordées en formation lors du diplôme d’études universitaires scientifiques et techniques (Deust) de technicien/préparateur en pharmacie, mais le CQP PAH a vocation à apporter une autre expertise », explique la Bisontine Khadija Afhami. Pour Christelle Degrelle, préparatrice dans l’Yonne, représentante CFE-CGC (Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres) et vice-présidente de la CPNEFP, « ce CQP est une bonne formation pour les préparateurs qui souhaitent faire évoluer leur pratique en devenant de véritables experts en phytothérapie, aromathérapie et herboristerie, tant le niveau de la formation est élevé ».
Une formation de qualité, partout en France
À Paris, Pierre Champy codirige, avec Sabrina Boutefnouchet, le diplôme interuniversitaire (DIU) « phytothérapie, aromathérapie : données actuelles, limites ». Il a également fondé une licence professionnelle de conseiller spécialisé en herboristerie et produits de la santé à base de plantes2. Deux formations de référence en la matière, qui accueillent volontiers – et même principalement, pour la licence pro ! – des préparateurs.
En montant le CQP PAH, Kevin Burdin a souhaité diffuser les connaissances par-delà la capitale. « Certes, il existe d’autres DU sur cette thématique en France, mais ils sont université-dépendants, donc avec des niveaux, des programmes, des volumes d’heures et des systèmes d’évaluations très hétérogènes d’une faculté à l’autre », pointe-t-il. Par ailleurs, « Tous les préparateurs n’habitent pas forcément à proximité directe d’une université. Le maillage territorial des CFA est plus homogène. » L’objectif était donc ici d’offrir, sur l’ensemble du territoire, une formation de qualité – plus dense qu’un DU en termes de volume horaire –, au contenu assez harmonisé, « ce que permet plus facilement un diplôme de branche », souligne David Brousseau. « D’un centre de formation à l’autre, il pourra y avoir de petits décalages, mais nous avons tenté de gommer les disparités, notamment en proposant des guidelines et des ressources sur lesquelles s’appuyer pour les cours, en détaillant les programmes, ou encore en soignant la sélection des formateurs », complète Kevin Burdin. À l’heure où nous publions, vingt-deux CFA ont passé l’épreuve de la sélection qui les autorise à ouvrir leur CQP PAH à la rentrée 2025.
Un CQP ancré dans la réalité de l’officine
Ouvert aux préparateurs comme aux adjoints, le CQP se veut très axé « métier ». À Besançon, « nous n’accueillons que dix étudiants au maximum, car la formation est très individualisée, explique Khadija Afhami. Elle se construit même « en lien avec les projets du titulaire, qui accompagne le candidat dès l’entretien de présélection, précise la responsable de formation. Le salarié doit, bien sûr, être engagé, mais le pharmacien est aussi sollicité pour investir son tutorat et donner une orientation stratégique au projet, car il y a un cadre, un référentiel avec des objectifs pédagogiques, mais aussi une marge de manœuvre qui nous permet de coller au plus près des besoins et réalités du terrain. »
C’est ainsi que le titulaire de Maud Julliard, préparatrice dans le Doubs, lui a proposé de passer le CQP. « Il souhaitait pouvoir nommer une personne responsable de chaque rayon dans sa pharmacie », explique la jeune femme de 34 ans, qui a vu dans cette proposition une belle opportunité d’affiner son conseil au naturel et d’évoluer. En plus des connaissances théoriques poussées qu’ils doivent acquérir, « les candidats doivent en effet prévoir de mettre en place une action dans leur officine : animation, création ou modification d’un rayon, proposition d’améliorations… », développe Carole Debost, coordinatrice du CQP au CFA de Besançon. Savoir référencer les produits à base de plantes, organiser et animer l’espace de vente sont des compétences évaluées lors de la seconde épreuve de l’examen, qui compte pour 40 % de la note finale. « L’idée, c’est aussi de pouvoir orienter les collègues », ajoute Maud Julliard. « La montée en compétences permet de devenir conseiller référent dans l’officine, mais aussi de pouvoir diffuser la connaissance auprès de l’équipe. Et c’est l’esprit de ce CQP ! », corrobore Khadija Afhami.
Valorisation des compétences… et du salaire !
Côté financement, « les CQP sont inscrits au répertoire spécifique (RS), ce qui autorise les candidats à utiliser leur compte personnel de formation (CPF) pour financer leur projet », développe David Brousseau. Quant au titulaire, « il bénéficie d’un défraiement par l’opérateur de compétences des entreprises de proximité (Opco EP) », précise Khadija Afhami. Sans compter que, en retour de son investissement en temps de formation, « la plus-value pour son officine sera directement observable sur le panier moyen », estime-t-elle.
Et quid du gain financier pour le préparateur ou l’adjoint ? « Le titulaire d’un CQP obtient une gratification salariale en cas d’application de ses connaissances dans l’officine », rappelle David Brousseau. Sur ce point, lors des négociations de branche, les syndicats de salariés se sont montrés vigilants à ne pas reproduire les conditions d’une situation désavantageuse vécue par certains titulaires du CQP de dermo-cosmétique. À savoir, ne jamais toucher leur gratification, tant les critères concernant l’application de leurs compétences à l’officine sont exigeants. « Les syndicats patronaux souhaitaient instaurer quatre critères, parmi lesquels figurait la réalisation de préparations en phytothérapie, aromathérapie, herboristerie. Or, beaucoup de pharmacies ne réalisent pas de préparations, rapporte David Brousseau. Nous avons finalement obtenu que la gratification soit accordée lorsque trois des quatre critères sont remplis, donc même en l’absence de préparations ».
Un montant à trouver…
Le jeu des négociations s’est poursuivi sur le terrain des modalités d’application de la prime de CQP. « Les organisations patronales avaient proposé que la gratification ne soit pas cumulable avec la prime perçue en cas de réalisation de préparations pharmaceutiques, mention qui a été retirée de l’accord de principe à la demande des syndicats de salariés », indique David Brousseau. En revanche, rien n’a encore été décidé concernant le montant lui-même. « La commission paritaire permanente de négociation et d’interprétation (CPPNI) du 30 juin n’a pas permis d’aboutir à un consensus, explique le secrétaire fédéral FO. Nous réclamions 60 fois la valeur du point, alors que les syndicats patronaux partaient sur 30. Nous avons accepté de descendre à 50, mais eux n’ont pas souhaité dépasser 40. »
Chacun restant sur sa position, la négociation est reportée à la prochaine CPPNI, qui aura lieu le 13 octobre. Autre point à repréciser : en l’état actuel, l’accord n’octroie de gratification que si les missions effectuées par le titulaire du CQP PAH à l’officine concernent à la fois l’aromathérapie, la phytothérapie et l’herboristerie. Les (nombreux) préparateurs travaillant dans des pharmacies dépourvues de rayon d’herboristerie n’y auraient donc pas accès. « La question sera soulevée à la prochaine réunion », assure David Brousseau, qui rappelle que les premiers titulaires du CQP PAH sortiront dans moins d’un an. Les modalités devront être fixées avant. Rendez-vous le 13 octobre.
1. Le datura, ou « herbe du diable », est une plante toxique de la famille des solanacées contenant des alcaloïdes (atropine, scopolamine…). Elle peut provoquer de graves intoxications (hallucinations, tachycardie, confusion…).
2. Formation organisée par les facultés de pharmacie des universités de Paris-Cité et Paris-Saclay avec le Centre de formation professionnelle de la pharmacie (CFPP-Planchat) de Paris.
En pratique
Le certificat de qualification professionnelle (CQP) de phytothérapie, aromathérapie, herboristerie (PAH) en pharmacie d’officine s’articule autour de 303 heures de formation, mêlant travaux pratiques (TP), travaux dirigés (TD) et cours magistraux. Il est organisé en quatre modules.
Module 1 : maîtriser les plantes pour sécuriser le conseil (148 heures)
Ce module apprend aux candidats à identifier les besoins d’un patient en fonction de sa situation clinique et biologique et du besoin exprimé, mais aussi à formuler un avis critique face aux précautions d’emploi parfois abusives. Il est composé notamment de 80 heures en pharmacognosie et botanique. Les plantes médicinales et les huiles essentielles majeures sont étudiées par système : système nerveux, respiratoire, cardiovasculaire, etc.
Module 2 : participer à l’approvisionnement et à la gestion du stock (66 heures)
Ce module permet d’acquérir les compétences et les connaissances nécessaires au référencement, à l’approvisionnement et à la gestion des stocks de produits de santé à base de plantes en pharmacie d’officine. En autonomie et dans le respect des directives et du budget donnés par le pharmacien titulaire de l’officine, le candidat doit savoir négocier avec les fournisseurs. Il doit garantir la sécurité de l’offre, la traçabilité des produits, leur qualité et leur conservation.
Module 3 : organiser et animer l’espace de vente (34 heures)
Ce module se concentre sur les techniques de merchandising et d’animation commerciale appliquées au point de vente ou au rayon, de manière que le candidat sache l’organiser et le valoriser en autonomie, dans le respect des directives du pharmacien titulaire, des bonnes pratiques de la profession et des réglementations en vigueur.
Module 4 : réaliser des préparations magistrales et officinales (55 heures)
Ce module permet au candidat d’apprendre à réaliser des préparations magistrales et officinales en phytothérapie, aromathérapie et herboristerie dans le respect des bonnes pratiques de préparation (BPP) et de la législation en vigueur. Il apprend également à analyser une prescription médicale de préparation : faisabilité, pertinence, voie d’administration, interactions éventuelles…
Évaluation : lors de l’examen, le candidat sera évalué sur trois piliers.
- Un cas de comptoir tiré au sort, lors d’une simulation de mise en situation professionnelle (45 % de la note) : identification du besoin du patient, conseil tenant compte de sa situation clinique et biologique, de ses antécédents et de la réglementation, argumentation adéquate, plan de prise adapté, explication des précautions d’emploi…
- La proposition (réelle ou fictive) faite à l’officine, par le candidat, consistant à créer / améliorer / dynamiser le rayon de phyto-aromathérapie et d’herboristerie (40 % de la note). Cette proposition fait l’objet d’un dossier professionnel rédigé par le candidat, et d’une présentation à l’oral. Référencement conforme au cahier des charges défini avec l’équipe officinale, veille réglementaire, négociation commerciale, respect des réglementations, suivi du stock, organisation de l’espace de vente, conditions de stockage, choix de l’animation, bilan des actions, etc., sont autant d’éléments évalués.
- La réalisation de fiches de préparations officinales et magistrales.
À noter : selon l’accord de principe conclu CPPNI le 30 juin, pour pouvoir prétendre à une bonification de salaire, les titulaires du CQP PAH doivent mettre en pratique dans leur officine, au moins trois des quatre modules de compétences acquises en formation.
Les 22 centres de formation agréés
À l’heure où nous bouclons ce numéro, vingt-deux centres de formation ont obtenu l’agrément les autorisant à ouvrir le certificat de qualification professionnelle (CQP) de phytothérapie, aromathérapie et herboristerie (PAH) à la rentrée 2025. Tous n’ont pas pu ouvrir faute d’inscrits, mais n’hésitez pas à les contacter !
Région Auvergne-Rhône-Alpes
- Novétude Santé pro à Lyon : 04 78 95 18 01
- CFA de Guilherand-Granges : 04 75 44 12 25
Région Bretagne
- CFA 35 à Rennes : 02 30 96 16 87
- CFA de Lorient : 02 97 35 31 80
Région Bourgogne-Franche-Comté
- AFPPFC à Besançon : 03 81 82 16 71
Région Grand Est
- CFA Pôle Pasteur à Bétheny : infos@cfpast.com
- Greta Lorraine UFA Marie-Marvingt à Nancy : 03 83 29 90 90
Région Hauts-de-France
- Greta Grand Hainaut Lycée Edmond-Labbé à Douai : 03 27 71 11 60
- ARCPP à Villeneuve-d’Ascq : 03 20 59 17 17
Région Île-de-France
- ACPPAV CFA à Poissy : accueilpoissy@acppav.org
et à Juvisy-sur-Orge : accueiljuvisy@acppav.org- CFPP à Paris : 01 43 56 30 30
Région Normandie
- CIFAC à Caen : 02 31 53 25 30
- IFA Marcel Sauvage à Mont-Saint-Aignan : accueil@ifa-rouen.fr
Région Nouvelle-Aquitaine
- CFA Commerce de Saintes : l.dantonny@actoria-formations.fr
- CCI de la Vienne à Poitiers : 05 49 60 98 00
Région Occitanie
- Purple Campus pour quatre sites (Béziers : 04 67 80 97 09, Carcassonne : 04 68 71 38 76, Marguerittes : 04 66 87 97 59 et Perpignan : 04 68 56 62 20)
Outre-mer
- Acoprophar à La Réunion : +262 262 28 61 29
Région PACA
- IFPS de la CCI Nice-Côte d’Azur à Nice : 04 93 13 73 70
- IFMP à Marseille : 04 91 84 00 00
Région Pays de la Loire
- CCI Angers espace de formation, trois sites (Angers, Cholet et Saumur)
- CFA de l’AFPPREC région Centre-Val de Loire Orléans pour quatre sites (Orléans : 02 38 84 39 57, Bourges : 02 48 65 60 87, Joué-lès-Tours : 02 47 67 10 11, Le Coudray : 02 38 84 39 57)
- GIPAFOC IA à Nantes : 02 72 56 84 00
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