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Astreintes : de rares recours aux grossistes
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Il est rare que les officinaux sollicitent leurs grossistes-répartiteurs dans le cadre d’une astreinte. C’est le constat dressé par Hubert Olivier, président de la Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique (CSRP) lors de son audition le 17 avril à l’Assemblée nationale par la mission d’information sur l’organisation de la permanence des soins.
Le nombre de demandes de produits manquants par des pharmacies a été de 4 en 2013, 7 en 2012, 10 en 2011 et 5 en 2010. Dans la majorité des cas, il s’agissait de traitements de la méningite, a précisé Hubert Olivier.
Ce constat s’explique par la bonne organisation des officines en amont d’un service d’astreinte, au cours duquel le pharmacien doit se rendre disponible pour la dispensation de médicaments sans pour autant être tenu à une permanence (garde).
Par ailleurs, quelques « très rares » incidents de fonctionnement ont empêché la livraison d’un médicament lors d’une astreinte (aucun en 2013, 1 en 2012 et 3 en 2011).
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