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Acétate de cyprotérone et méningiome
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Publié le 23 août 2018
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Une étude pharmaco-épidémiologique de l’Assurance maladie quantifie le risque de méningiome (tumeur le plus souvent bénigne des méninges) lié à l’utilisation prolongée d’acétate de cyprotérone (Androcur et génériques). Ce risque est multiplié par sept chez les femmes exposées à de fortes doses (plus de 3g sur 6 mois avec poursuite du traitement). Et par vingt après 5 années de traitement à 50 mg/jour ou 10 années à 25 mg/jour, 20 jours par mois.
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