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© Rotarix et Rotateq : la prudence reste de mise
Rotarix et Rotateq : la prudence reste de mise
Fin mars, l’Afssaps avait recommandé de ne plus utiliser le vaccin Rotarix jusqu’à la fin du mois d’avril après la découverte de fragments d’ADN viral dans certains lots du vaccin. La précaution française reste de mise en attendant les conclusions de l’évaluation européenne annoncées pour juillet. On sait aujourd’hui qu’il s’agit de fragments d’ADN de circovirus porcin de type 1. Finalement des fragments d’ADN de circovirus porcin de type 1 et 2 ont été aussi retrouvés dans des lots de Rotateq. Pour autant l’Afssaps recommande seulement pour ce second vaccin « un usage attentif et sélectif » chez les bébés particulièrement vulnérables aux infections à Rotavirus. L’Agence européenne du médicament ne juge pas nécessaire de mettre en place des actions particulières d’autant que le circovirus porcin « n’est pas connu pour provoquer des maladies chez l’homme et qu’aucun signal de pharmacovigilance n’a été rapporté à l’échelon international ».
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