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- « Il peut y avoir une décote du prix si les cessions se font entre associés »
« Il peut y avoir une décote du prix si les cessions se font entre associés »
Les prix des pharmacies relèvent du libre jeu de l’offre et de la demande. Par conséquent, les vendeurs ne baisseront leurs prétentions que s’ils y sont contraints par l’urgence d’un départ en retraite, de difficultés économiques, d’un arbitrage familial ou s’ils trouvent un intérêt à vendre moins cher. Sur ce point, il y a des raisons d’espérer une évolution des comportements.
Chez les professions libérales, où le phénomène associatif est ancien, les experts-comptables ou les biologistes par exemple, il y a une nette décote sur les prix des clientèles lorsque les cessions interviennent entre associés ou au profit d’un collaborateur qui devient associé.
Dans nos dernières études statistiques, nous relevons 10 à 15 points de moins en pourcentage du chiffre d’affaire dans ces circonstances. Lorsque les protagonistes ont un intérêt et un agrément à exercer ensemble, les prix s’ajustent. Donc, cela peut aussi gagner la pharmacie avec le développement du phénomène associatif.
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