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LE CONSEIL
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Publié le 13 octobre 2007
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Faut-il racheter la clientèle ou le fonds d’une pharmacie voisine dont le titulaire s’apprête à rendre la licence en l’absence de repreneur ? La décision doit être bien pesée. Il peut être parfois plus judicieux, dans cette situation, de conserver la licence et de l’exploiter au travers d’une SEL. En effet, en cas de fermeture de la pharmacie, le risque est double : création ou transfert d’une nouvelle officine, déperdition de clientèle. Pour arbitrer, il faut déterminer le seuil limite en deçà duquel les économies de frais généraux induites par la fusion ne compensent plus la perte de chiffre d’affaires. Au-delà de 30 à 35 % de perte, il est préférable de conserver les deux points de vente.
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