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C’est la fête !
La levée du couvre-feu et du masque sous conditions nous ravit. Une autre occasion de faire la fête est l’arrivée du Deust dès septembre (voir actu p. 6). Un beau diplôme professionnel de préparateur technicien en pharmacie de niveau bac + 2.
S’il ne change pas pour l’instant la vie des préparateurs en poste, il signe la fin de l’inertie. Comme le disait un conseiller du ministère de l’Enseignement supérieur, « la mise en place du Deust oblige l’ensemble du système à évoluer ». Même le BP, toujours d’actualité, pourrait être rénové ! La question cruciale qui devrait être débattue cet automne porte sur l’existence ou non de deux métiers de préparateurs à l’officine. Existe-t-il un métier de base et un autre de préparateur spécialisé, à l’image des infirmiers en pratique avancée qui bénéficient de prérogatives supplémentaires ? Si oui, il faudra définir ce métier spécialisé par ses activités et les compétences à acquérir, avant d’élaborer une formation, qui pourrait être une licence professionnelle après le Deust. Ou bien, il n’existe qu’un métier de préparateur. Dans ce cas, il suffirait de garder le Deust ou de le remplacer par une licence professionnelle pour tous. Pour l’heure, la branche pencherait pour deux diplômes, alors qu’elle réclame trois ans de formation depuis dix ans ! La question du diplôme se posera ensuite. Le prérequis incontournable est de définir le métier de préparateur, ses activités et ses compétences associées. Tant que cette réflexion n’aboutira pas, la licence restera dans les cartons… En attendant de découvrir en détail ce Deust à la rentrée, passez un bel été en lisant notamment notre dossier spécial, et portez-vous bien !
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