CANCER DU COL DE L’UTÉRUS
Réservé aux abonnés
Publié le 14 novembre 2009
Partager
Mettre en favori
La densité médicale « anormalement basse » de la Seine-Saint-Denis « semble précariser l’accès aux soins », constate une étude sur le cancer de l’utérus menée dans les hôpitaux Bichat (Paris) et Jean-Verdier (Bondy). Le recours au frottis est de 25 % chez les femmes sous CMU ou AME contre 56,1 % par ailleurs, avec un retard de 1,8 mois pour consulter après les premiers symptômes.
Publicité
Publicité
Publicité
- Pharma espagnole : 9 milliards d’investissements et une réforme en vue
- Réforme de la facture électronique, mode d’emploi
- Mon espace santé : un guide pour maîtriser l’accès et la consultation
- Fraude à la e-CPS : l’alerte discrète mais ferme de l’Agence du numérique en santé
- Pharmacie de Trémuson : une officine bretonne pionnière en RSE et qualité
- Comptoir officinal : optimiser l’espace sans sacrifier la relation patient
- Reishi, shiitaké, maitaké : la poussée des champignons médicinaux
- Budget de la sécu 2026 : quelles mesures concernent les pharmaciens ?
- Cancers féminins : des voies de traitements prometteuses
- Vitamine A Blache 15 000 UI/g : un remplaçant pour Vitamine A Dulcis
