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Faut pas trop pousser…
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Publié le 29 novembre 2017
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Depuis que « Monsieur grande distribution » a pris des parts de marché aux officines, y a-t-il eu des études qui ont calculé cette perte ? Sur les tests de grossesse, par exemple, jusqu’à quel point Leclerc a-t-il rogné le monopole des pharmacies ? Des chiffres s’il vous plaît !
M., préparateur à Palaiseau (91)
Porphyre répond
Il est difficile de quantifier le chiffre d’affaires perdu au vu des politiques de prix variables. Selon le magazine Pharmacien manager, en 2012, la vente des tests de grossesse en officine représentait un chiffre d’affaires de 38,3 M€, en progression de 3,8 %, pour 5,2 millions d’unités vendues.
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