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Vente en ligne, adjoints : l’ordre demande le retrait du projet de loi
« Mais pourquoi autorise-t-on les pharmacies elles-mêmes à vendre des médicaments sur Internet ? Le faire, c’est déjà se tirer une balle dans le pied, en donnant des arguments aux Amazon et autres qui sont en embuscade… Il faut interdire la vente des médicaments sur Internet, même aux pharmacies. La cohérence nous rendra service à toutes et à tous. »
« En poussant le raisonnement jusqu’au bout : la seule chose qui restera à l’officine réelle sera… les gardes de nuit, qui, n’étant pas rentables, ne permettront pas de pérenniser le réseau. Donc la continuité des soins, si chère à nos instances et à nos gouvernants, disparaîtra de facto, car on ne pourra demander à l’hôpital, déjà mal en point, d’assurer ce service. Maintenant, la balle est dans le camp du consommateur : soit il se précipite sur la vente en ligne et c’est cuit, soit il réfléchit (et là j’ai comme un doute) et continue à venir sur place… Quand on voit ce que nos concitoyens achètent sur Amazon, tout en se plaignant de ne plus rien trouver sur place, la probabilité de dérapage est très forte ! »
Actualité publiée le 7 février 2020

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