Suspicion
En février, un lecteur s’est ému du quasi-monopole de Doctolib, un acteur privé, sur la prise de rendez-vous, regrettant que le numérique en santé soit à la traîne. Vous avez répondu que le numérique en santé se portait bien. Et que si cela fonctionnait avec Doctolib, il ne fallait pas s’en priver. Certes, mais que penser du fait que les données ne soient pas chiffrées, comme la cellule investigation de Radio France l’a montré ? Et que cet opérateur utilise les serveurs d’Amazon et sache que telle personne consulte un psychiatre ou un oncologue ? Cela ne devrait pas être confié à n’importe qui.
Alain, préparateur à Montpellier (34)
Porphyre répond
Nous sommes d’accord avec vous. La protection des données doit être la règle, et ne soyons pas naïfs face à des services privés gratuits.
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