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Encore quelques mois de sursis pour data matrix
La nouvelle codification data matrix à 13 chiffres devait avoir lieu au 1er janvier 2011. Mais elle a été repoussée à 2013, ce qui a mis un coup d’arrêt aux renouvellements anticipés. De toute façon, seule une minorité de pharmaciens avait commencé à s’équiper. Il faut dire que le coût des lecteurs reste élevé : il faut en effet compter de 200 à 500 euros pour un lecteur classique et jusqu’à 1 000 euros pour un lecteur terminal d’inventaire.
De nombreuses SSII s’équipent
Du côté des SSII, les logiciels sont-ils prêts à intégrer la nouvelle codification ? Une grande partie des prestataires et des fabricants d’automates se déclarent d’ores et déjà prêts à gérer le système de data matrix.
Chez Alliadis, le système est actif avec la mise en place d’Alliance Premium. Les officinaux peuvent alors acquérir, depuis deux ans, des lecteurs mixtes 1D/2D pour un coût par lecteur de 370 euros. Ainsi, les codes data matrix (qui intègrent le code CIP, le numéro de lot et la date de péremption) sont lus en réception de commande, les numéros de lot sont enregistrés à la vente et une alerte est émise si la date de péremption arrive à terme.
Du côté de Pharmagest Interactive, la dernière version de LGPI Global Services, en cours de déploiement, permet de lire le code produit contenu dans le data matrix.
Les produits à double marquage commencent à arriver dans les officines mais ils peuvent toujours être lus par les lecteurs classiques.
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