Livrer, oui, mais sans Uber !
J’ai lu que l’Ordre des pharmaciens n’excluait pas d’avoir recours à Uber pour la livraison de médicaments. Et puis quoi encore ? On va autoriser Amazon ensuite ? Je ne suis déjà pas pour les services d’Uber même si, en ce moment, ces derniers peuvent peut-être aider les restaurateurs à sauver la mise. Je trouve que c’est entretenir une certaine précarité pour ceux qui triment pour rendre ce service. L’officine n’a pas à être complice d’un service au rabais.
Johanna, préparatrice à Lille (59)
Porphyre répond
L’Ordre des pharmaciens a répondu sur la légalité et les contraintes réglementaires de tout système de livraison à domicile pour les médicaments dans l’article du Moniteur des pharmacies du 15 février 2021. C’est son devoir de le faire. En revanche, vos craintes sont compréhensibles. À chaque pharmacien de faire son choix, entre Uber et les autres…
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