HYGIÈNE : L’EFFICACITÉ PRIME SUR LE NATUREL
Le marché de l’hygiène naturelle est-il en danger ? « Quelques mois avant le coronavirus, les consommateurs avaient complètement modifié leurs comportements d’achats en matière d’hygiène beauté. Ils s’orientaient vers des produits avec moins de conservateurs, de produits chimiques, d’additifs », rappelle Pascale Hébel, directrice du pôle consommation et entreprise, du Centre de Recherche pour l’Étude et l’Observation des Conditions de Vie (Credoc). « Mais, depuis l’apparition du virus, on se pose moins de questions. Le consommateur va au plus pratique. Alors que la consommation de savons solides était en hausse, là, nous assistons à une ruée sur les produits plus désinfectants, mais pas forcément très naturels. » Et concernant l’hygiène, cette peur va rester longtemps ! Sur les achats alimentaires, le Credoc a comparé les ventes durant la crise actuelle à celles réalisées pendant la Guerre du Golfe, et fait remarquable, les consommateurs ont moins acheté de sucre. L’hygiène alimentaire a donc changé en trente ans.
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