On ne s’emballe pas…
Réservé aux abonnés
Publié le 1 juin 2024
Partager
Mettre en favori
Merci pour votre focus sur le vrac à l’officine pour la parapharmacie paru dans le numéro d’avril dernier. Le sujet est intéressant, mais pour le moment, les clients restent peu réceptifs si l’incitation financière n’y est pas. Soit les clients n’achètent pas car la différence est peu intéressante par rapport à un produit déjà emballé, soit parce qu’il faut investir dans des contenants spécifiques au départ. L’argument écologique en convainc certains, mais le porte-monnaie a souvent le dernier mot. !
Mélanie, préparatrice dans les Hauts-de-Seine (92)
Porphyre répond
Le vrac est effectivement un mode de consommation qui bouscule nos habitudes et demande de l’organisation. Aux équipes officinales d’inventer l’histoire qui le rendra attractif.
Publicité
Publicité
Publicité
- Pharma espagnole : 9 milliards d’investissements et une réforme en vue
- Réforme de la facture électronique, mode d’emploi
- Mon espace santé : un guide pour maîtriser l’accès et la consultation
- Fraude à la e-CPS : l’alerte discrète mais ferme de l’Agence du numérique en santé
- Pharmacie de Trémuson : une officine bretonne pionnière en RSE et qualité
- Comptoir officinal : optimiser l’espace sans sacrifier la relation patient
- Reishi, shiitaké, maitaké : la poussée des champignons médicinaux
- Budget de la sécu 2026 : quelles mesures concernent les pharmaciens ?
- Cancers féminins : des voies de traitements prometteuses
- Vitamine A Blache 15 000 UI/g : un remplaçant pour Vitamine A Dulcis
