Monopole, numerus clausus, capital : Roselyne défendra la profession

Publié le 31 mars 2008
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Pour Roselyne Bachelot, les trois piliers de l’exercice officinal que sont le monopole, le numerus clausus et le capital sont « irréfragables ». « Je tiens à affirmer ici mon attachement très ferme au maintien de cet équilibre. Comptez sur moi pour le défendre », a réaffirmé notre ministre de tutelle, samedi matin, lors de l’inauguration de Pharmagora.
Mais la profession devra évoluer, a-t-elle insisté, rappelant la nécessité d’« adapter le maillage afin de garantir à chaque officine une activité suffisante pour offrir un service pharmaceutique à la hauteur des exigences modernes de qualité ». La ministre a également défendu la mise en avant de médicaments devant le comptoir, basée sur le volontariat, mais
« qui contribuera à améliorer le pouvoir d’achat des citoyens [et] favorisera l’éducation thérapeutique ».

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