Les équipes officinales manquent d’informations
D’après une enquête menée par Pharmagest auprès de plus de 500 utilisateurs de son logiciel LGPI, 64 % des titulaires, 55 % des adjoints et 42 % des préparateurs déclarent connaître les principaux médicaments anticancéreux.Pour environ 60 % des sondés, le pharmacien peut et doit intervenir à tous les stades du traitement : conseils associés (diététique, médecines annexes…), médicament (effets secondaires, posologie…) et prise en charge esthétique.Même si une très grande majorité des adjoints et titulaires commentent déjà les ordonnances de chimiothérapie aux patients, le manque d’information constitue un frein important. Les cancers du sein, de la prostate et colorectal sont les trois principaux domaines où une formation sur la maladie et ses traitements serait souhaitée par l’équipe.
- Pharma espagnole : 9 milliards d’investissements et une réforme en vue
- Réforme de la facture électronique, mode d’emploi
- Mon espace santé : un guide pour maîtriser l’accès et la consultation
- Fraude à la e-CPS : l’alerte discrète mais ferme de l’Agence du numérique en santé
- Pharmacie de Trémuson : une officine bretonne pionnière en RSE et qualité
- Comptoir officinal : optimiser l’espace sans sacrifier la relation patient
- Reishi, shiitaké, maitaké : la poussée des champignons médicinaux
- Budget de la sécu 2026 : quelles mesures concernent les pharmaciens ?
- Cancers féminins : des voies de traitements prometteuses
- Vitamine A Blache 15 000 UI/g : un remplaçant pour Vitamine A Dulcis
