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Prévention : Non, l’accident vasculaire cérébral n’est pas une fatalité !
La 3e Journée de prévention des accidents vasculaires cérébraux (AVC) s’est déroulée le 4 mai à l’initiative des laboratoires MSD, dans treize villes de France. Expositions, films, mesure de la tension artérielle ont cherché une fois de plus à alerter le public sur les facteurs de risque de l’AVC. Car, si l’infarctus du myocarde est dorénavant bien catalogué par le public comme une urgence absolue, il n’en est pas de même pour l’AVC. Il représente pourtant la 3e cause de mortalité en France.
Deux messages sont à faire passer. D’abord, connaître les signes avant-coureurs pour orienter au plus vite les patients et éviter la plupart des accidents. Toute paralysie d’un membre même brève (sentiment d’un « bras lourd »), toute perte transitoire de la vision ou de la parole doit faire consul ter en urgence. Ces signaux d’alarme sont la plupart du temps annonciateurs d’un AVC.
Deuxième message : l’AVC n’est pas une fatalité ! Le principal facteur de risque est l’hypertension artérielle qu’il faut contrôler au minimum une fois par an et traiter… à vie. Viennent ensuite le diabète et le cholestérol.
Améliorer son hygiène de vie est donc indispensable pour minimiser les risques : marcher 30 minutes par jour, arrêter de fumer, équilibrer son alimentation en augmentant les portions de légumes, fruits et poissons, ne pas ajouter de sel aux plats et se limiter à deux verres de vin par jour.
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