Gare au foie avec Esmya

Réservé aux abonnés
Publié le 20 janvier 2018
Mettre en favori

Plusieurs cas d’hépatotoxicité ont été signalés en Europe chez des patientes prenant Esmya (ullipristal) pour traiter d’un fibrome utérin. L’ANSM recommande donc la réalisation d’un bilan hépatique avant le début du traitement. Celui-ci ne sera pas initié en cas d’anomalie hépatique. Le prescripteur doit remettre aux patientes une fiche d’information sur le risque potentiel d’hépatotoxicité du médicament. Elle décrit notamment les signes d’alerte : maux de tête sévères et prolongés, anorexie, nausées ou vomissements, fatigue inhabituelle, jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, urines inhabituellement foncées…

Publicité