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© Patchs nicotiniques : gare à la substitution - Frederic Thual
Patchs nicotiniques : gare à la substitution
Suite à un signalement de pharmacovigilance, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) rappelle ce lundi 29 janvier dans un point d’information que la bioéquivalence entre les différents patchs de nicotine ne peut pas être garantie, à l’exception de Nicotinell et de son générique Nicopatch.
Quatre dispositifs transdermiques de nicotine sont actuellement commercialisés, délivrant une quantité de nicotine de 7 mg, 14 mg ou 21 mg sur une durée de 24 heures (Niquitin, Nicotinell, Nicopatch) et 10 mg, 15 mg ou 25 mg sur une durée de 16 heures (Nicoretteskin).
La substitution d’un dispositif transdermique par un autre risque de provoquer des symptômes de manque (irritabilité, anxiété, troubles du sommeil) ou de surdosage avec nausées, maux de tête, palpitations.
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