Viva la covida

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Publié le 1 avril 2020
Par Audrey Chaussalet
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En France, en Europe, dans le monde, le Coronavirus met les populations devant la nécessité de changer radicalement leurs habitudes. Partout, la vie quotidienne est bouleversée. Dans le moindre de ses mouvements, dans le moindre de ses moments. Cette période de confinement laissera indéniablement des traces.

Les premiers jours, la crise sanitaire a démontré que la surconsommation était la norme. Le papier toilette, les pâtes dans l’alimentaire, Doliprane dans les médicaments… Après le confinement, que restera-t-il de la peur de manquer ? Ce confinement va-t-il renforcer une prise de conscience collective pour une consommation plus responsable ? Plus locale ? Privilégiera-t-on le made in France pour faire redémarrer l’économie du pays, pour prévenir la prochaine crise sanitaire ?

Beaucoup d’inconnues, mais des scenarii semblent déjà probables. Au sortir de cette crise, les réseaux sociaux continueront d’être exploités pour garder un contact fort avec ses clients. L’heure de gloire des services de livraison à domicile, du drive et du e-commerce ne va pas stopper net. De nouvelles habitudes seront prises et cette situation aussi inédite soit-elle, démontre, s’il fallait encore une preuve supplémentaire, que le rapprochement entre point de vente physique et monde digital est inévitable. Indispensable même.

L’heure est au smart phygital, tel est le titre de notre enquête. L’utilisation des outils digitaux et de l’intelligence artificielle afin d’améliorer la connaissance clients et proposer des services en adéquation avec leurs besoins, doublés d’un véritable accompagnement lors de leurs achats, sera un atout. Pendant et après cette pandémie.

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