- Accueil ›
- Thérapeutique ›
- Vigilances ›
- Alprazolam : ses mauvais usages ne tranquillisent pas
Alprazolam : ses mauvais usages ne tranquillisent pas
Réservé aux abonnés
Partager
Mettre en favori
Entre 2018 et 2020, la prise d’alprazolam en même temps que celle d’opioïdes (codéine, buprénorphine, méthadone, tramadol) a augmenté de 10 %. Les principaux effets recherchés sont à visée anxiolytique et récréative. Les données collectées par les différents outils du réseau français d’addictovigilance estiment à 55 % le taux de dépendance à la molécule, 44 % le taux de mésusage et 10 % celui d’abus, principalement chez des jeunes adultes. L’alprazolam étant la benzodiazépine la plus consommée en France, les chercheurs alertent sur les risques encourus.
Publicité
Publicité
Publicité
- Comptoir officinal : optimiser l’espace sans sacrifier la relation patient
- Reishi, shiitaké, maitaké : la poussée des champignons médicinaux
- Budget de la sécu 2026 : quelles mesures concernent les pharmaciens ?
- Cancers féminins : des voies de traitements prometteuses
- Vitamine A Blache 15 000 UI/g : un remplaçant pour Vitamine A Dulcis
Sur le même sujet…
