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Des banquiers refroidis
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Publié le 12 mai 2007
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La baisse des marges et la concurrence exacerbée que connaît depuis quelques années la pharmacie d’officine ont tendance à refroidir les banquiers. Comme l’attestent les propos récents de Jean-Charles Cochet, président du directoire de la Caisse d’Epargne de Lorraine : « Cette situation nous incite a être beaucoup plus prudents dans l’étude des dossiers de crédit lors de l’installation d’un pharmacien d’officine. Nous sommes enclins à demander plus de garanties et cautions qu’auparavant .»
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