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Un nom pour mon métier
C’est un fait. Le préparatoire est une activité plus que rare et plutôt le lot d’officines spécialisées, voire de sous-traitants (lire p. 6). Lieu dédié, procédures, traçabilité… il faut bien se l’avouer, une majorité d’officinaux a zappé les bonnes pratiques de préparation (BPP), pourtant en vigueur depuis 2007. À cela s’ajoute la réforme de l’examen du BP (lire p. 11), qui diminue les coefficients dévolus aux TP et à la galénique avec, à la rentrée, une diminution des heures consacrées à ces matières en CFA. Aujourd’hui, votre métier se déroule davantage face aux patients que devant un mortier. Vous passez la plupart de votre temps à délivrer et à conseiller (sans compter le reste). Le hic est que votre métier a pour nom « préparateur en pharmacie ». Quel paradoxe de porter le nom d’une activité que l’on ne pratique plus !
Des enseignants de CFA et des pharmaciens s’inquiètent de voir votre identité même de professionnel autant malmenée. Le remplaçant du BP n’est pas d’actualité, ni son intitulé, mais serait-il si incongru que ça de changer votre nom ? Je m’interroge : « Vous sentez-vous ‘‘préparateur en pharmacie’’ ? » En attendant vos réflexions sur notre page Facebook, portez-vous bien !
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