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Les adhérents impliqués dans des études cliniques
Notre souhait est de nous impliquer dans la pharmacie clinique », a déclaré Jean-Christophe Lauzeral, directeur général opérationnel de Giropharm, lors d’une conférence de presse le 4 juin dernier. Une volonté ancienne que le groupement cherche à concrétiser par diverses actions. Ainsi, par exemple, Giropharm poursuit sa politique de certification ISO 9001/QMS Pharma. Déjà 60 % des adhérents sont certifiés ou en cours d’obtenir la certification.
Formations des adhérents à l’ETP
Giropharm organise aussi des formations à l’éducation thérapeutique du patient (ETP) de 40 heures : 72 pharmaciens ont déjà été formés et, cette année, 6 sessions de 4 jours à l’ETP sur l’asthme, le diabète et le cholestérol, auront lieu. Autre projet : la prise en charge du patient en sortie d’hospitalisation (voir encadré). C’est dans cette optique que 41 adhérents sont désormais membres de la Société française de pharmacie clinique et que 5 d’entre eux vont participer à des groupes de travail avec les pharmaciens hospitaliers sur la coordination entre la ville et l’hôpital ou la gériatrie.
Enfin, près de 200 pharmacies participent à trois études en vie réelle, deux sur le diabète de type 2 et une sur les troubles veineux, pour des laboratoires ou des « payeurs privés ». Pour les troubles veineux, leur rémunération s’élève à 50 € par patient sur une base de 5 patients par officine pour 6 mois. Pour le diabète, la première est rémunérée 50 € par patient et la seconde 840 € par an pour 6 patients.
Les Français, la sortie de l’hôpital et le pharmacien
Près d’un Français sur deux estime qu’il est livré à lui-même à sa sortie d’hôpital. Si 69 % estiment qu’ils sont bien informés sur le traitement, ils ne sont que 41 % pour les interactions et 37 % pour les risques d’effets indésirables. Pour autant, ils ne sont que 12 % à citer spontanément le pharmacien comme le professionnel de santé le mieux placé pour assurer le relais sur le bon suivi du traitement à la sortie de l’hôpital (contre 58 % pour le médecin généraliste). En revanche, lorsqu’on évoque le pharmacien, ils sont 71 % à avoir confiance en lui pour réaliser un entretien sur leur traitement médicamenteux après leur hospitalisation.
Sondage Ifop pour Giropharm, mené auprès de 1 002 personnes du 28/01/15 au 02/02/15.
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